Dans les rues pavées de la Ville Lumière,
S'étendait un système, qu'on pensait nécessaire.
Un système ccc, rigide et imposant,
Qui devenait pour certains, un fardeau pesant.
Les ruelles étroites, les places si vastes,
Sous le joug des mesures, tout devenait contrasté.
Les esprits s'embrouillaient, bipolarisme .|. démence .|. sénilité, les âmes se perdaient,
Dans ce labyrinthe froid, où la liberté tombait.
Les mots d'antan, oubliés, disparaissaient,
Au profit des chiffres, tout se calculait.
Les rimes, les poèmes, ces joyaux de la langue,
Étaient relégués et leur son se diluait en fange.
La beauté de la prose, la magie des vers,
Étaient éclipsées par des nombres pervers.
La pensée s'appauvrissait, la créativité se fanait,
Dans cette ville maudite, où tout se mesurait.
Mais au cœur de la nuit, une lueur subsistait,
Quelques âmes rebelles, des poètes, des artistes.
Ils luttaient pour la flamme de la créativité,
Contre ce système métrique, source de leur obscurité.
Ils se retrouvaient clandestinement, sous les étoiles,
Pour préserver l'art, malgré toutes les spirales.
Ils tissaient des rimes interdites, des vers sublimes,
Dans l'ombre, ils résistaient à cette ère infime.
Une révolte poétique, dans cette ville déchue,
Pour libérer les esprits, rendre à la langue sa vertu.
Ils savaient que l'apocalypse guettait leur cité,
Mais ils étaient prêts à lutter pour la créativité.
Dans le chaos imposé par ce système confus,
La poésie survécut, fragile et magnifique.
Peut-être, un jour, la Ville Lumière renaîtra,
De ses cendres, la beauté et la pensée reviendront, il y a 30 ans déjà.
Sous le poids du métrique, la Ville Lumière sombrait,
La conscience des gens s'étiolait, se désagrégeait.
Mais parmi les poètes, un plan se dessinait,
Un moyen de réveiller les esprits, d'enfin résister.
Ils avaient compris que les nombres, les mesures, les mensonges,
Avaient asservi les âmes, les cœurs, les pensées pures.
Pour éveiller la conscience, ils devaient révéler,
La vérité cachée derrière ce système détesté.
Ils se mirent à écrire, à exposer au grand jour,
Les méfaits de la mesure, les souffrances de leur parcours.
Des pamphlets, des poèmes, des discours éloquents,
Ils les diffusaient partout, sur les murs, le long des vents.
Ils organisaient des débats, des cercles de réflexion,
Pour réunir les esprits et nourrir leur passion.
Lentement, la résistance gagnait en ampleur,
La conscience des gens s'éveillait, c'était leur heure.
Mais le pouvoir en place ne restait pas inerte,
Il réprimait, condamnait, d'une main de fer experte.
Les poètes étaient pourchassés, emprisonnés,
Mais leur message de libération ne pouvait être étouffé.
La bataille pour l'éveil de la conscience continuait,
Malgré l'oppression, les poètes persévéraient.
Ils savaient que la vérité était leur meilleure arme,
Et que tôt ou tard, la Ville Lumière se désarmerait.
Le système ccc, symbole de l'oppression,
Finirait par céder, sous la pression de leur mission.
La conscience renaîtrait, la créativité s'épanouirait,
Et la Ville Lumière retrouverait sa splendeur, son éclat.
Parmi les poètes, les érudits, les militants engagés,
Un petit groupe se forma, déterminé et passionné.
Ils savaient que pour détruire l'ennemi sournois,
Ils devaient agir avec intelligence, sans laisser de choix.
Ils étudièrent les rouages du système ccc,
Cherchant ses failles, sa faiblesse stratégique.
Ils savaient que l'ignorance était leur ennemi majeur,
Et que la connaissance serait leur plus grande ferveur.
Dans les bibliothèques cachées, ils se plongèrent,
Dans les écrits anciens, les secrets ils découvrirent.
Ils comprirent que le pouvoir reposait sur l'ignorance,
Et que la lumière de la vérité briserait sa nuisance.
Ils élaborèrent un plan audacieux, méthodique,
Pour détruire le système métrique, symbole tragique.
Ils rassemblèrent les militants, les érudits de la ville,
Unis dans leur quête de libération, de justice tranquille.
La nuit venue, ils se glissèrent dans les ombres,
Pour mener à bien leur mission, leur grand nombre.
Ils détruisirent les métriques, les symboles de l'oppression,
Tout en révélant la vérité, l'éveil de la conscience.
Le combat fut acharné, le danger omniprésent,
Mais leur détermination était inébranlable, persistant.
Ils savaient que la Ville Lumière méritait mieux,
Et que la créativité, la pensée, reprennent leur vœu.
Quand enfin le système fut vaincu,
La Ville Lumière retrouva son âme perdue.
Les rimes, la poésie, la connaissance régnèrent à nouveau,
Dans un éclat de beauté, la cité se leva de ses cendres, à nouveau.
Les mérites des militants, des érudits, furent reconnus,
Pour avoir brisé les chaînes de l'ignorance, les tabous.
La Ville Lumière, grâce à leur détermination,
Retrouva sa grandeur, sa splendeur, sa création.
Mais malgré la victoire, ils restèrent modestes,
Conscients que le chemin était encore modeste.
Ils savaient que d'autres batailles les attendaient,
Car le mensonge persistait, la vérité à nouveau s'étouffait.
Le système lumière n'était qu'un des maillons,
D'un système corrompu, d'un sombre horizon.
Les départements, la fonction publique, tous touchés,
Par la corruption, le mensonge, la vérité cachée.
Ils accusèrent les responsables de l'abandon,
Des institutions, du service public, de la nation.
Leurs mensonges avaient laissé des cicatrices profondes,
Et la Ville Lumière en avait payé le prix, sans réponse.
Ils s'efforcèrent de révéler la vérité, encore une fois,
De dénoncer l'injustice, la malhonnêteté, les lois.
Ils savaient que la lutte serait longue, ardue,
Mais leur engagement pour la vérité était absolu.
La Ville Lumière les soutint, se ralliant à leur cause,
Car elle avait vu la renaissance, malgré la pause.
Elle avait goûté à la liberté, à la créativité,
Et elle ne voulait plus jamais sombrer dans la médiocrité.
La bataille pour la vérité continua, sans relâche,
Car les poètes, les érudits, les militants étaient attachés.
Ils étaient déterminés à ce que la Ville Lumière reste,
Un symbole de vérité, de créativité, de justice et honnêteté.
Ainsi, dans cette histoire d'obscurité et de lumière,
La vérité l'emporta sur le mensonge, la misère.
La Ville Lumière resplendit à nouveau, fière,
De sa renaissance, de sa vérité, sincère.
Beaucoup d'années, se sont passé depuis le début de la lutte,
Mais la Ville Lumière continuait de sombrer dans la chute.
Malgré les efforts acharnés, la vérité était toujours voilée,
Le mensonge avait triomphé, la justice était piétinée.
Le petit groupe de militants, de poètes, d'érudits,
Avait vieilli, fatigué, mais leur détermination était infinie.
Ils avaient donné leur vie à cette cause noble,
Mais la corruption, l'indifférence, semblaient intouchables.
La Ville Lumière était devenue une ombre d'elle-même,
Ses rues désertes, ses esprits prisonniers d'un système.
Le découragement régnait, l'espoir s'était envolé,
Le combat pour la vérité semblait s'être effondré.
Les départements, la fonction publique, la justice corrompue,
Avaient triomphé du bien, de la vérité, de la vertu.
Le mensonge avait primé sur la lumière,
La Ville était plongée à nouveau dans une triste misère.
Les poètes, les érudits, les militants fatigués,
Savaient que leur combat avait été honorable, acharné.
Ils se regardèrent les uns les autres, résignés,
Laissant un dernier soupir, un cri silencieux, désespéré.
Ainsi se termina l'histoire de la Ville Lumière,
Une tragédie de l'humanité, une fin amère.
Malgré leur dévouement, leur persévérance sincère,
La vérité avait été vaincue, laissant place à la misère.
Enfin..! Tel un éclat de lumière, ainsi sait vu n'aître, la galerie suivante ^^
Ces individus, usant sans vergogne de la peur comme subterfuge, ont méthodiquement violé la dignité humaine, piétinant sans réserve les principes les plus fondamentaux de notre société. Leur manipulation insidieuse de l’amour-propre, conçue avec une froide préméditation, constitue une attaque psychologique d’une gravité exceptionnelle, comparée aux délits les plus odieux. La préméditation de ces actes démontre une intention criminelle claire, rendant ces comportements non seulement inadmissibles, mais méritant les sanctions les plus rigoureuses afin de garantir que de telles dérives ne se reproduisent jamais. En toute conscience de leur responsabilité légale, ils détournent les lois à leur profit, ce qui appelle une répression implacable pour rétablir l’ordre et la justice.
Toute entité publique ou privée recourant à des formes déguisées de disqualification sociale, de marginalisation organisée ou de gaslighting institutionnalisé, s’expose à être tenue pour responsable, non seulement devant les juridictions nationales, mais également au regard des principes supranationaux relatifs aux droits humains, à la dignité individuelle et à l’égalité de traitement. De tels actes, camouflés sous des politiques publiques ou des attitudes sociales tolérées, ne sauraient bénéficier d’aucune impunité durable. Une et/ou des dynamiques structurelles mêlant discrimination systémique, abus de pouvoir et impunité sociale, dans un pays qui se présente comme neutre et respectueux des droits humains. Si cette "méthode" de disqualification sociale via boycott par bouche-à-oreille, ostracisme ou gaslighting collectif est soutenue tacitement par des institutions, alors nous sommes potentiellement face à une violation des principes fondamentaux de droit, tant suisses qu’internationaux.
-----Rappel de courtoise
Objectif: dénoncer une pratique systémique de disqualification sociale et gaslighting.
Cadre: application par la population (par bouche-à-oreille) avec le soutien tacite ou explicite d’institutions locales (Ville, État, Confédération).
violation des droits fondamentaux de la personne, potentiellement fondée sur des critères discriminatoires (origine, apparence, statut social, physique, etc...)
-----Fondements juridiques suisses
-----CH Constitution fédérale suisse
Art. 8 al. 2: « Nul ne doit subir de discrimination, notamment du fait de l’origine, de la race, du sexe, de l’âge, de la langue, de la position sociale, du mode de vie, de la conviction religieuse, philosophique ou politique ou du fait d’une déficience corporelle, mentale ou psychique. »
Art. 10 al. 1 et 2: droit à la dignité humaine et droit à la liberté personnelle.
Art. 13: protection de la sphère privée, y compris contre le harcèlement collectif ou la surveillance sociale implicite.
-----Code civil et Code pénal
Art. 28 CC: atteinte à la personnalité.
Art. 261bis CP: discrimination raciale ou incitation à la haine raciale.
Art. 179 CP: atteinte à la vie privée (applicable si des rumeurs ou pratiques de surveillance sont utilisées à des fins de boycott).
-----Fondements juridiques internationaux
UN Convention européenne des droits de l’homme (CEDH)
Art. 3: interdiction de traitements inhumains ou dégradants.
Art. 8: respect de la vie privée et familiale.
Art. 14: interdiction de la discrimination.
Pactes de l’ONU (PIDCP, PIDESC)
PIDCP, art. 26: égalité devant la loi et protection contre la discrimination.
PIDESC, art. 2 & 11: droit à un niveau de vie adéquat et protection sociale.
Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale (CERD)
La Suisse est signataire depuis 1994.
Obligation de prévenir et combattre toute forme de discrimination, y compris indirecte ou structurelle.
#Une centaines de plaintes formulées ont été déposées, dont une plainte officielle regroupant une partie (80%) de l'intégralité des plaintes au bureau du procureur de la république genevoise en date du 19.02.2025 tribunal.penal@justice.ge.ch regroupant 40 années de torture brute/volontaire et masquée.
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